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Les "MÈRES" AUVERGNATES - Triptyque gastronomique dans la vallée de Royat

Éditions CRÉER

Vous allez découvrir dans ce livre l’histoire d’un Triptyque gastronomique auvergnat. Vous suivrez, à travers les peintres, poètes et écrivains qui l'ont côtoyé, sa trace dans la Vallée de Royat.

16,00 €

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Description

Auteur : Bernard BOUCHEIX

BABELIO AVIS DES LECTEURS

VERSION NUMÉRIQUE DISPONIBLE

Vous allez découvrir dans ce livre l’histoire d’un Triptyque gastronomique auvergnat. Vous suivrez, à travers les peintres, poètes et écrivains qui l’ont côtoyé, sa trace dans la Vallée de Royat. Partez à la découverte du monde merveilleux de La Mère Gagnevin « Patronne Des Romantiques », de La Mère Quinton « Belle Meunière », en passant par La Mère Mesure « Reine Du Dosage », trois figures
emblématiques du territoire qui sont arrivées jusqu’à nous. Elles ont laissé leur empreinte se transmettant des recettes de génération en génération. Ce Triptyque gastronomique a la particularité d’avoir vécu dans un petit coin de France où la nature prédominante et luxuriante était encore préservée aux portes de la capitale des Arvernes. L’Auvergne peut s’enorgueillir de posséder trois figures de
l’art culinaire où les potagers, les châtaigniers, la vigne et la cueillette des fraises rythmaient les saisons de nos fameuses aubergistes. Ces dernières ont croisé au cours du XIXe siècle des artistes venus de toute l’Europe pour découvrir ce village romantique ou cette nouvelle station thermale. Les paysages décrits par le monde des arts et des lettres nous en disent long sur l’univers de ces trois femmes attachantes. Laissez-vous envoûter par cette trinité du bonheur : la gastronomie, l’art et la nature. Elle résume la vie de ces personnages et l’Auvergne éternelle.

 

Prologue
Dans la restauration, le surnom de « Mère » fut souvent utilisé en France pour désigner des femmes tenant une auberge. Si les premières à porter ces surnoms ou sobriquets nous viennent du XVIIIe siècle, c’est surtout au cours du XIXe qu’elles connurent leurs heures de gloire. Rares sont celles qui ont atteint une renommée nationale voire internationale. La plupart d’entre elles ont eu une clientèle locale voire modeste. 

À l’origine, les « Mères » étaient souvent de vieilles personnes ou des mères de familles aux forts caractères mais pas toujours cuisinières. De La Mère Gigogne qui avait des enfants qui sortaient de dessous sa robe et qui donna son nom aux tables Gigognes, à cette célèbre lavandière médiatique que fut La Mère Denis en passant par La Mère Michel qui a perdu son chat, toutes ont laissé leur nom dans
la grande tradition de la ruralité française. Bien sûr, c’est surtout dans la restauration qu’elles ont laissé une trace comme La Mère Bizolon ou La Mère Fillioux à Lyon, La Mère Catherine à Montmartre en passant par La Mère Poulard au Mont Saint-Michel. 

Si les « Mères » désignent des cuisinières qui sont à l’origine de la réputation gastronomique de leur auberge, leur histoire se mêle à celle du développement touristique de leur territoire. Ces femmes issues de milieux modestes ont l’habitude de travailler dur. Un sou est un sou. Entre cuisine populaire puis bourgeoise, elles servent toujours des plats roboratifs et régionaux.

Femmes à la personnalité marquante ou grandes cuisinières, elles décident souvent de se mettre à leur compte en ouvrant un restaurant, une auberge, une pension de famille ou un modeste hôtel. Elles offrent une cuisine simple, composée généralement de quelques plats typiques, leur spécialité et
leur renommée locale. Parfois raffinées mais toujours pétries de gastronomie régionale, elles tiennent des tables où se mêlent plaisir culinaire et convivialité. Des artistes aux célébrités en passant par la bourgeoisie, toutes les catégories sociales viennent s’y encanailler. 

L’âge d’or des Mères auvergnates est bien celui du XIXe siècle. L’Auvergne peut s’enorgueillir d’en posséder trois qui ont laissé leurs noms dans l’Histoire, l’une sur le plan local, La Mère Mesure, l’autre sur le plan national La Mère Gagnevin et enfin la dernière, sur le plan international, La Mère Quinton.
Toutes les trois ont en commun d’avoir vécu et de s’être transmis le flambeau dans la même vallée de Royat au cours du XIXe siècle. 

En ce qui concerne la première qui vécut au début du XIXe siècle, non seulement cette « Patronne des Romantiques » nous fait rêver aujourd’hui, par les peintres qu’elle a pu côtoyés, mais aussi, juste par le fait d’entendre son nom qui nous donne envie de passer à table : La Mère Gagnevin, la seconde, qui
vécut au milieu du XIXe siècle, non seulement, incarne par sa modestie, le monde décrit dans les nouvelles de Guy de Maupassant mais aussi, représente une véritable « Reine du Dosage » : La Mère Mesure. Enfin la troisième qui vécut à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle et dont la fabuleuse épopée incarne plusieurs histoires en une seule personne n’est autre que La Mère Quinton qui fut dans sa jeunesse une « Belle Meunière ». 

Caractéristique

  • Auteur : Bernard BOUCHEIX
  • Format 21 X 29,7 cm épaisseur 5 mm
  • Point 353g
  • ouvrage illustré

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