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SAPIENS - Au matin du monde - Tome 3 - La terre promise ! enfer ou paradis ?

Éditions CRÉER

Les deux tribus de la jeune nation Na'Sa' envisagent l''avenir avec optimisme. [...] Malheureusement ils devront aussi défendre leurs vies et, confrontés à des situations inextricables, faire preuve de courage.

20,00 €

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Description

Auteur Philippe Loul AMBLARD

BABELIO AVIS DES LECTEURS

VERSIONS NUMÉRIQUES DISPONIBLES

 

Vous verrez un peu d'enthousiasme, d'ingéniosité, de solidarité...

ça fait du bien ! Lisez Sapiens.

Les deux tribus de la jeune nation Na’Sa’ envisagent l’avenir avec optimisme. Le clan du loup d’Aakin bien à l’abri dans sa forteresse de pierre et le clan des loutres de Kassin blotti derrière son rempart de ronces vont s’ouvrir au monde. Des enfants vont naître, des étrangers vont se faire adopter en apportant leurs secrets et leurs compétences. Sur leur territoire Ga’Hé est particulièrement généreuse. Les fruits, les graines, les plantes comestibles abondent comme le gibier aussi nombreux que diversifié. Le lac et le fleuve regorgent de poissons et forment une frontière infranchissable. Bref, rien ni personne ne semble pouvoir perturber la vie tranquille des Na’Sa’… mais qui peut prédire les facéties des totems ?   

Sur les rives opposées une horde sanguinaire rumine sa haine. Les hommes sauvages veulent venger leurs morts et laver l’affront dans le sang des impudents qui ont délivré les esclaves. Vont-ils trouver le moyen de traverser le fleuve ? vont-ils s’aventurer sur l’immense nappe d’eau douce ? arriveront-ils à accomplir leurs sinistres desseins ?   Seuls sur des terres hostiles le groupe des bannis de Tharun suit son chef dans sa quête improbable. Sa rancune envers son ennemi juré ne cesse de croître. La folie ronge sournoisement son cerveau malade. Prendra-t-il les bonnes décisions pour son clan ? Ne le mènera-t-il pas à sa perte ? Trouvera-t-il Aakin ?  Et réussira-t-il à se venger de lui ?  Les membres du clan du lion vont affronter des épreuves terribles, combattre des ennemis terrifiants, lutter contre la famine et les maladies, frôler la mort. Ils vivront aussi quelques moments de bonheur, ouvrant leur cœur aux autres et leur esprit aux idées nouvelles.    Encore plus haut vers le Nord une armée de barbares féroces venus des steppes  gelées menace le dernier camp Na’Hirï.   

Dans ce troisième et dernier volet de la saga Sapiens l’auteur nous réserve quelques surprises. Aakin, Uhiri, Chahin, Brago et les autres continuent d’apprendre de la vie. La tribu va prospérer. Ils vont voyager, rencontrer d’autres peuples, s’enrichir de coutumes et de cultures différentes. Ils verront les grandes eaux du clan Na’Luz et les poissons géants. Ils partageront l’abri sous roche des Na’Vez et leurs objets de terre cuite. Ils chasseront le chamois avec les Na’Tau sur les sommets de l’Ouest. Malheureusement ils devront aussi défendre leurs vies et, confrontés à des situations inextricables, faire preuve de courage et d’ingéniosité. Comment tout cela va-t-il se terminer ?    

 

EXTRAIT  

1 L’OURS    

La flottille du clan du loup accoste sous des bourrasques annonciatrices de pluie. Ils déchargent les embarcations puis les portent à plusieurs longueurs de l’eau. Kassin les a prévenus de la soudaineté et de la violence de certaines tempêtes qui agitent le lac pendant la mauvaise saison. Sa surface, d’ordinaire paisible, s’enfle et se creuse de vagues pouvant atteindre deux bras de hauteur et qui déferlent sur les berges en détruisant tout sur leur passage. Elles arrachent des branches et des buissons, soulèvent des troncs abattus comme de simples fétus mais déposent également des débris transportés de la rive opposée et qui dérivent depuis des mois voire des années au gré des caprices de l’immense nappe d’eau douce.  Les Na’Sa prennent pied sur la grande esplanade qui s’étend devant leurs grottes. Ils commencent par visiter ces dernières une à une, vérifiant que quelque fauve n’a pas eu la mauvaise idée de s’installer pour l’hiver puis, rassurés, ils reprennent possession des lieux. Quelques mustélidés ont bien fouiné un peu partout mais à part deux ou trois crottes et une ou deux peaux déchiquetées, les dégâts ne sont pas très importants. S’ouvrant à flanc de falaise, les salles qui contiennent leurs réserves sont pratiquement inaccessibles et n’ont pas souffert des raids des blaireaux et autres fouines. Les femmes rallument les foyers, remettent leur intérieur en état. Les hommes rangent les produits du troc et de la chasse. Ils sont heureux de retrouver les abris familiers et à chacun de leurs gestes ils remercient Bar’Ho et les totems de les avoir guidés jusqu’à ce territoire béni des Esprits. Rapidement, la bienfaisante chaleur de Hor envahit les cavernes, chassant le froid et asséchant les parois de pierre.   

Quelques lunes ont passé. Les oiseaux migrateurs ont déserté les abords du lac. Après deux saisons de criaillements ininterrompus un silence incongru règne sur les marais de l’embouchure. Les hautes herbes jaunissent et s’affaissent sous l’action du gel qui commence à figer les eaux calmes. Un mélange de pluie et de neige fondue s’écrase en gouttes épaisses et glacées sur la terre endormie. Sur l’étroit sentier qui grimpe de la petite vallée jusqu’aux cavernes, ils pataugent et dérapent sur le sol boueux si bien que la plupart d’entre eux préfèrent couper à travers bois. Ce n’est pas que les feuilles mortes et détrempées soient moins glissantes que la boue du chemin mais au moins, ils ne finissent pas sales et crottés. Par bonheur, le « pont » de pierre remplit parfaitement son office et la traversée de la petite rivière s’effectue sans encombre. Malgré les pluies d’automne, son débit n’est pas assez important pour passer par-dessus l’ouvrage de rocs qu’ils peuvent franchir sans se mouiller les pieds. 

Caractéristique

  • Auteur : Philippe Loul AMBLARD
  • Format : 15 x 21 cm, épaisseur 30 mm
  • 530 pages
  • Un dessin original de Bruno Bo BASSET par chapitre
  • Broché cousu couverture souple

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