Pierre-robert LECLERCQ écrivains, dramaturge

Pierre-robert LECLERCQ

Pierre-Robert Leclercq est de ces rares écrivains qui, selon la formule, « se consacre au seul métier de l’écriture ». Egalement dramaturge, il a été joué sur la scène de la salle Firmin Gémier du Théâtre National de Chaillot, de la Maison de Verrine, du Lucernaire où a été donnée sa comédie dramatique Les Sentinelles éditée aux éditions Horay avec des illustrations de Cabu. Traitant du sujet de la désertion en temps de guerre, elle n’a pas été bien reçue d’une partie de la presse parisienne. Il ne revendique qu’un titre de gloire, ces lignes de l’éditeur Michel Desgranges : J’ai une vraie estime pour l’auteur et pour l’homme (homme qui occupe une place périphérique dans la Tribu) comment y est-il parvenu sans compromettre son intégrité ? »

Du même auteur

Romans

Séquences (Denoël)
Malagure (Calmann-Lévy)
Parfois la nuit (Calmann-Lévy)
L’enfant de paille (Calmann-Lévy, prix Thyde Monnier, 1983)
Les Gabyandre (Fayard)
Un bon citoyen (La Table Ronde, flamme d’or Amnesty international, Bruxelles, 1987)
Un petit regard s’il vous plaît (La Table Ronde)
Le colonel Sckabert (La Table Ronde)
L’arbre (Editions du Rocher)
Pour Khaled et les autres (Buchet-Chastel)
Monsieur Niquile (Les Belles Lettres)
Le Libraire de la rue Poliveau (Les Belles Lettres)
La Baronne Pointe-de-Gueules (Le cherche midi)

Biographies

Céleste Mogador (La Table Ronde, prix du comité de la Société des Gens de Lettres 1996)
La comtesse de Loynes (Le cherche-midi)
George Sand Les Années Aurore (Anne Carrière)
Thérésa la Diva du ruisseau (Anne Carrière)
Les destins extraordinaires de Timothée Trimm et de son Petit Journal (Anne Carrière).
Bonnot et la fin d’une époque (Les Belles Lettres)
Soixante-dix ans de Café Concert 1848-1918 (Les Belles Lettres)
André Gill Les dessins de presse et la censure (Les Belles Lettres)

Nouvelles

Le jeu du pauvre (Porte du Sud)
Le phallus du petit Jésus (Car rien n’a d’importance - Mas Blanes)
La larme de Jean-Ro (Car rien n’a d’importance - Mas Blanes)
Le soleil des beaux dimanches (Editions du Rocher)
Le voyage de Slaboulgoum (Editions Le Verger - Barr)
Le tramway de Kafka (Les Belles Lettres)

Récits

Versailles (Champ Vallon, collection « Des villes »)
Versailles songe royal (photographies de Maryvonne Rocher-Gilotte, Parigramme)
Une palette dans un parc (peintures originales de Jacqueline Merville, Le Vent Refuse)
Les Mystères de Versailles (Editions Alphée Jean-Paul Bertrand)

Pamphlets

Avez-vous vu Daradada? Le métier de romancier (Pierre Horay)
Où est passé l’esprit critique? (Anne Carrière)
Les Sachants (Les Belles Lettres)
Mes Catins (Les Belles Lettres)

Essais

Rencontre avec Camus (l’École)
Rencontre avec Bernanos (l’École)
Bernanos en verve (Pierre Horay)
Introduction à « Monsieur Ouine » de Georges Bernanos (Lettres Modernes-Minard)
« J’accuse… ! » de Zola (Editions du Rocher)

Poèmes

En percevant (Rencontre - Lausanne !)
Poète palette et blason (Rougerie - Mortemart)
Do mi bémol sol (La Bartavelle - Aubagne)

Théâtre

Les sentinelles, dessins de Cabu (Horay)

Ouvrages collectifs

Bernanos et Bloy in Bernanos ( colloque de Cerisy-la-salle, Plon )
Monsieur Ouine de Bernanos Une pédagogie du néant (Civitas, Berne )
Sous le Soleil de Pialat in Roman 20-50 ( Septentrion )
Supervielle ou l’engagement forcé in la Littérature française sous l’Occupation (Presse universitaire de Reims )
Jeanne au cent visages in Carl Th. Dreyer La Passion de Jeanne d’Arc (L’avant Scène Cinéma)
Jeanne en chair et en esprit in Joseph Delteil (Les dossiers H, l’Age d’Homme)Le taudis de Suresnes in Architecture Lieu d’écriture (Topos)
L’écrivain de notre comédie humaine, Colloque Marcel Aymé et son temps (Sorbonne)

Préfaces

Madame Clapain d’Edouard Estaunié (Mémoire du Livre)
Monsieur Ouine de Georges Bernanos (Castor Astral)